|
Revue de presse La première minute
|
*Si Jean Charest pense pouvoir les gagner. À quand des scrutins à date fixe au Québec?
La Presse Canadienne via Le Devoir, 2012-06-25
Raymond Bachand rejette le recours à la médiation dans le conflit étudiant
«Le ministre québécois des Finances, Raymond Bachand, rejette l'idée d'une médiation pour résoudre le conflit étudiant, et soutient que la solution réside désormais dans la tenue d'élections générales cet automne.
M. Bachand l'a confié au journal français Le Monde, qui consacre la moitié de son dernier cahier «Géo et Politique» au printemps québécois.
«La seule sortie de crise possible est à travers la tenue d'élections [...] Nous sommes en campagne préélectorale pour un scrutin fort probable à l'automne», a déclaré le ministre.»
EXCELLENT
Martine Jacot, Le Monde, 2012-06-25
Au cœur du «printemps érable»
EN RAPPEL
Martine Jacot, Le Monde, 2012-06-23
«Des élections fort probables à l'automne pour trancher la crise»
«Envisagez-vous une reprise des négociations avec les étudiants?
Ils ne veulent pas négocier. Il y aura discussion quand ils seront prêts à accepter le principe d'une hausse des frais. Sur les trois fédérations estudiantines, l'une d'entre elles, la Classe, exige un gel, et les deux autres ne veulent pas se désolidariser. Les grévistes sont minoritaires: 70% des étudiants ont pu terminer leur session et passer leurs examens.»
- Pas «pantoute»
- Pour ceux qui ne l'avaient pas encore compris, le différend étant sur le principe d'une hausse, voilà un moment qu'il est clair que le gouvernement ne veut pas négocier non plus.
Richard Martineau, Le Journal de Montréal, 2012-06-25
La grande charge péquiste
«Je sais qu’il reste encore six mois, mais le 31 décembre, quand viendra le temps de faire le bilan des 12 derniers mois, l’interrogatoire de Jacques Duchesneau par l’avocate du Parti québécois se retrouvera certainement sur la liste des moments les plus surréalistes de l’année.
Pendant des semaines, Pauline Marois n’a cessé de brandir le rapport Duchesneau en chambre afin d’attaquer la réputation du premier ministre.
Et voici maintenant que sa formation tente de détruire la réputation de l’ex-chef de police, parce qu’il a osé dire que la corruption touchait TOUS les partis!»